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LES CM2

28 juin 2011

Une histoire de Clément

 

L’île aux sorcières et aux magiciens

Il était une fois, très loin de chez nous, l’île aux sorcières et aux magiciens. Ils se faisaient la guerre depuis toujours mais, ne me demandez pas pourquoi, je suis juste le narrateur et je n’écris pas à la place de l’écrivain.

 

Chapitre 1 : Chez les magiciens

-        Chez les magiciens : un homme âgé de 80 ans était le roi, il s’appelait Alfus III ; il avait des cheveux blancs, une tunique et un chapeau pointu bleu étoilé.

-        A chaque saison un magicien devait planter et donner des roses à tous ceux qui voulaient avoir un enfant car la rose donnait naissance à un enfant. Mais si pendant 7 jours, dans une saison, il n’y a plus de roses, tous les magiciens qui sont de la saison meurent.

-        A la fête de l’été, un magicien donna une rose à Alfus III. Quelques jour plus tard, un bébé sortit de la rose, il s’appelait Merlin.

Chapitre 2 : Chez les sorcières

-        Chez les sorcières : une femme âgée de 89 ans était leur reine. Elle s’appelait La Crasse. Elle avait des cheveux tout sales, elle avait plein de verrues et des habits aussi sales que son nom.

-        A leur 20 ème  anniversaire, les sorcières devaient faire une soupe de crottes de nez et de beaucoup de saletés, et quelques jours après un bébé très sale en sortait.

-        La crasse eut un enfant, une fille. Celle-ci n’était pas sortie de la soupe très sale mais plutôt très belle. Etait-elle une vraie sorcière ?

 

Chapitre 3 : le triste événement

20 ans plus tard, en plein été, Alfus était en train de mourir. Il demanda à voir son fils merlin. Dans la chambre d’Alfus il dit : « la prochaine saison tu distribueras les  roses et je te nomme roi des magiciens. »

 

 

 

Chapitre 4 : le vol

UN JOUR, il PLEUVAIT SUR L’île et les sorcières allaient attaquer le royaume des magiciens. Toutes les sorcières arrivaient sur leur balai volant et leur bombe citrouille. Leur but était de prendre toutes les graines de roses et les roses. Les magiciens essayèrent de riposter mais bon, les sorcières étaient trop nombreuses et leur mission fut réussie.

 

Chapitre 5 : la mission

Quelques jours après l’attaque, Merlin pensa qu’il devait distribuer les roses ; mais comment faire : il n’y avait plus de roses. Le lendemain, il confia le royaume à un de ses amis « mandrake », et il partit à la recherche des roses chez les sorcières.

 

Chapitre 6 : la rencontre

Quand il passa la frontière, il sentit une mauvaise odeur. Il regarda autour de lui et il vit plein de saletés. Là il n’y avait plus aucun doute, il était bien chez les sorcières.

Au bout de son chemin il vit une mare. Là se trouvait un crapaud. Mais le crapaud dit : « je ne suis pas un crapaud, je suis un magicien transformé en crapaud ». Merlin n’en crut pas ses yeux ou plutôt ses oreilles « un crapaud qui parle, que c’est bizarre ».

Le crapaud dit : « ne m’appelle plus crapaud, mais appelle  moi crapouille, et d’ailleurs puis-je venir avec toi ? »

 

Chapitre 7 : le palais

Plus que trois jours avant que la saison été ne disparaisse.

Merlin et crapouille se trouvèrent devant la porte d’entrée du palais  de la reine : la crasse. Mais comment rentrer, il y a des gardes ; en y réfléchissant merlin dit : « nous avons des pouvoirs magiques, alors pourquoi ne pas se téléporter ? » Aussitôt dit, aussitôt fait, ils sont allés directement dans la pièce ou étaient gardées toutes les roses. Merlin remplit son sac de graine ; puis crapouille et lui sortirent du palais et rentrèrent chez les magiciens.

 

Chapitre 8 : l’arrivée

Quand ils arrivèrent, mandrake dit « plus qu’un jour et la saison été  allait disparaître mais bon, tu es arrivé à temps  c’est le principal, et en fait c’est qui le crapaud ?» merlin répondit c’est crapouille, c’est un ami que j’ai trouvé dans mon voyage ».

 

Chapitre 9 : fin.

Ils  vécurent encore longtemps jusqu’au jour où le distributeur de roses oublia de les distribuer. La saison mourut et l’île avec car la saison était le jour de naissance de l’île.

 

Fin

Clément CAZALA

 

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23 juin 2011

La princesse en détresse de Théophile

La princesse en détresse

 

Il était une fois, un jeune commerçant qui s'appelait Jean et qui était détesté de tout le monde à cause de son égoïsme. Lui,

qui vendait de délicieux fruits était follement amoureux de la princesse du château de Camelot. Depuis son enfance, il avait un faible pour elle. Un jour, quelques soldats arrivèrent devant sa maison, comme c'était lui qui avait les meilleurs fruits et légumes du pays, ils lui firent une commande gigantesque pour le mariage de la princesse. Pour pouvoir apporter la commande à temps, il fallait travailler jour et nuit. Le jour du mariage était venu, le commerçant

arriva avec sa charrette de fruits et de légumes.

Après la cérémonie, la princesse voulut goûter une des pommes qu'il avait apportées. Au moment où la pomme toucha les lèvres de la jeune mariée, elle se volatilisa avec une odeur de souffre. Tout le monde se retourna vers Jean et des gardes l'encerclèrent. Il prit son courage à deux mains et dit sérieusement «« Je partirai à la recherche de la princesse et je ne reviendrai pas tant que je ne l'aurai pas retrouvée! »» Aussitôt, il prépara ses affaires de voyage et partit. Il marcha au travers du pays pendant deux semaines. Puis un beau jour, il aperçut un château abandonné et au sommet du donjon, il y avait la princesse. Jean se précipita mais un énorme dragon protégeait l'entrée. Dès que celui-ci l'aperçut, il commença à cracher du feu. Le combat entre le commerçant et la bête dura 30 minutes (Jean était essoufflé), puis Jean trouva une vieille épée rouillée, il alla la chercher et la lança de toutes ses forces vers le dragon et celle-ci le transperça en plein cœur et il s' effondra. La princesse descendit de sa tour puis serra Jean dans ses bras. Quand ils revinrent au château de Camelot, tous deux furent acclamés par la foule. Le roi, pour récompenser Jean, le nomma chevalier (c' était le plus beau jour de sa vie).

 

 

 

 

The End

 

Théophile

15 juin 2011

La journée de Julie par Guillemine

 

                                           Une matinée de folie

 

 

Je me présente Julie, j’ai 10 ans, je suis rousse aux yeux bleu. Je vais vous raconter une de mes matinées.

 

C’était il y a 3 mois, nous venions d’emménager à Lyon dans un appartement au rez de chaussée.

Ma maman me dit :

-Julie, demain, mercredi, je dois partir pour Bordeaux. Je te laisse toute seule pour la matinée. Cela ne te dérange pas ? Sinon je prends une nounou.

 

-Maman je suis plus un bébé ! Je resterai toute seule demain matin.

 

 

Le lendemain, je me réveillai. J’entrai dans la cuisine en pyjama.

 

-Maman, maman où es-tu ?

 

Soudain je me frappais le front. «Mais oui, maman était partie tôt ce matin. » Je pris mon petit déjeuner en pensant tout haut :

-Qu’est-ce-que je vais bien pouvoir faire ? Je sais, je vais m’habiller puis regarder la télévision.

 

Je rangeai mon bol quand au dessus de la gazinière, je vis écrit : « ATTENTION, gazinière ne pas utiliser »

Bon j’avais quand même un peu peur.

Cinq minutes après, j’étais habillée. J’allais allumer la télévision quand la sonnerie retentit. J’ouvris, intriguée.

- J’accouche, j’accouche.

C’était Caroline la voisine du dessus. Elle me laissa Morgane (sa fille) et un sac. Morgane a 2 ans, elle est brune aux yeux marron.

-Je te la laisse. J’accouche, j’accouche.

 

Je refermai la porte quand Morgane me tira la jupe.

-Viens jouer

-Bon viens dans le salon même si il y a des cartons.

Notre salon était plein de cartons, car on n’avait pas eu le temps avec maman de tout ranger.

-Je veux jouer, dit Morgane

Je sortis mes anciennes Barbie de mon placard pour qu’elle puisse jouer.

Pendant ce temps, je lisais un livre sur les bébés pour savoir ce que je pourrais donner à Morgane pour qu’elle puisse manger.

Quand j’eus terminé le livre, il était déjà 12h30 et maman rentrait à14h30.

Dans le livre je n’avais pas trouvé ce que j’allais lui préparer pour le déjeuner.

Morgane s’endormit et je me suis glissée vers la porte d’entrée.    

J’allai demander à la vielle dame du dessus ce que Morgane pouvait bien manger.

Je sonnai, la vieille dame m’ouvrit.

- Que veux-tu mon enfant ?

-Je voudrais savoir ce que peut manger un enfant de 2ans.

-A 2 ans, on a déjà des dents, tu peux lui donner la même chose que toi.

-Merci et au revoir.

Je redescendis ; en route je venais de me rappeler que je n’avais pas pris la clé.

Trop tard la porte était fermée. « Mais heureusement il y a notre jardin »me dis-je.

Je rentrais dans mon jardin et avec l’aide de gros cailloux, je cassais la fenêtre.

-Ouf !!Morgane dort encore.

DING ! DONG

Voilà maman criais-je.

-Coucou ! Ma puce tu vas bien ?

A ce moment là, le téléphone de maman sonna.

- Oui bonjour, à oui au revoir.

-Julie la maman de Morgane a accouché c’est un garçon. Il s’appelle Paul.

Puis nous avons ramené Morgane chez elle et nous avons fini de ranger les cartons

-Bravo Julie ! Tu t’es bien débrouillée.

 

 

14 juin 2011

Le rêve d’Azhure

 

Le rêve d’Azhure

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Par un beau matin, au crépuscule de l’aube, dans le village de Caldéum situé au bord de la mer, un rêve se réalisa.

Appuyée sur la rambarde, face à la mer, une jeune fille qui devait avoir 17 ans, regardait pensivement la mer. Elle était plongée dans ses pensées. Soudain, elle se redressa, sa robe bleue et ses cheveux d’ébène bouclés flottant au vent, elle monta sur la rambarde et sauta sur la plage. Puis elle courut jusqu’à un gros rocher, grimpa dessus et replongea dans ses pensées sans se soucier des vaguelettes qui lui chatouillait les pieds, tandis que ses yeux de la couleur de l’océan fixaient la mer.

De l’autre côté du village endormi, un jeune garçon, Pierre, courait dans les rues. Essoufflé, il s’arrêta et s’appuya sur un mur ; il regarda la position du soleil afin de voir quelle heure il était : 7h00. Il allait être en retard à leur cours de tir à l’arc ! Et le professeur voulait que sa plus brillante élève soit là pour le tournoi.                                                                                                  

Il fallait qu’il  retrouve à tout prix Azhure. Soudain, il eut une idée, Azhure était sans doute soit au port soit sur la plage. Maintenant il savait où la trouver.

La jeune fille ou Azhure, avait de l’eau jusqu’aux genoux. Ce n’est qu’en apercevant la froideur de l’eau sur ses jambes qu’elle sortit de ses songes. Un peu nerveuse, elle se retourna et marmonna :

«  Zut, j’ai oublié mon cours et en plus, je ne peux plus rentrer. Comment vais-je faire ? »

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Mesurant la longueur qui la séparait de la plage, elle se dit qu’elle ne pourrait pas nager une aussi longue distance. Au moment où elle allait se lever pour crier à l’aide, Azhure aperçut un personnage. Ce-dernier était notre ami Pierre qui était désespéré et fatigué d’avoir couru dans tout le village pour retrouver son amie perchée sur un rocher au milieu de la mer. Se demandant comment il allait la sortir de là (parce qu’il n’était pas méchant et n’avait pas envie de laisser Azhure là jusqu’à la marée basse ; s’il faisait ça, folle de rage, elle lui hurlerait dessus jusqu’à ne plus avoir de voix), il aperçut une petite barque amarrée au pont. Sautant dedans, il attrapa les rames et se mit à ramer. Arrivé au rocher où Azhure ne tenait plus que sur un pied, il lui cria sur un ton chargé de colère:

« Saute ! Mais dépêche-toi, nous sommes en retard !!! »

Penaude, Azhure sauta, s’installa et ne parla plus jusqu’au retour.

Une fois qu’ils eurent les pieds sur la terre, ils coururent jusqu’à leur cours qui dura une heure.

Alors qu’ils rentraient, Pierre demanda à Azhure :

« Dis, pourquoi, tous les matins, je dois aller te chercher je ne sais où à chaque fois ? »

« Parce que je rêve. »

« Et tu rêves de quoi ? »

« Je rêve d’aventures, je rêve de partir loin, de découvrir le monde qu’il y a au-delà du village. Je rêve d’embarquer sur un bateau et de partir. Mais ce rêve ne se réalisera pas, ajouta Azhure l’air triste. »

« Peut-être, peut-être pas, dit Pierre soudain devenu mystérieux, si jamais tu pars, promets moi de m’emmener avec toi car moi aussi j’aimerais découvrir le monde. »

Ils étaient arrivés devant la porte de la maison de la jeune fille. Se retournant face à Pierre, elle déclara :

« C’est promis, dit-elle en l’embrassant sur la joue, bonne journée ! »

Sur ce, elle rentra chez elle.

De son côté, Pierre se promenait dans le port quand un marchand lui parla :

« Mon garçon, ça te dirait de venir travailler dans mon bateau ? Nous partons dans cinq jours et nous allons visiter plusieurs pays. Alors, ça te dirait? »

« Oui, ça m’intéresse mais si j’embarque sur votre bateau, je veux emmener une amie avec moi. C’est peut-être une jeune fille mais c’est son rêve de visiter le monde. Je viendrais dans cinq jours mais nous serons deux. D’ACCORD ? »

« Oui oui, venez à deux, je ne  dirai rien. A dans cinq jours alors. »

Très content de ce qu’il venait de faire, Pierre avait encore une chose à faire avant de rentrer chez lui. Avertir Azhure.

Arrivant devant sa porte, il frappa. Ce fut la jeune fille qui lui ouvrit :

« Azhure, j’ai une surprise à te faire, dans cinq jours, nous partirons découvrir le monde sur un bateau de marchand. Es-tu contente ? »

La jeune fille, folle de joie, se jeta dans les bras de son ami pour le remercier et lui dit :

« Bien sûr que j’accepte. MERCI !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »

C’est ainsi que le rêve d’Azhure se réalisa cinq jours plus tard…

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Alice in Wonderland

 

 

 

 

14 juin 2011

La bêtise de Thian

 

La bêtise

C’est l’histoire d’un garçon portugais nommé Romaõ da Costa Diego de Santõs ou Romaõ tout court. Il vivait entre Braga et Lisbonne dans un vaste village. Celui-ci à 19 ans et rêve d’explorer l’Europe de l’Est mais sa famille n’ayant pas les moyens de voyager…

Un jour, au lieu d’aller à son lycée à 4 kilomètres de chez lui, (il s’y rend toujours en vélo qu’importe les conditions ou le temps) Romaõ aperçut un bus allant directement à Séville en Espagne. Il se posa une question ; je dispose de 100 € et le trajet coûte 15 €. En plus, il ne s’entend pas toujours très bien avec ses camarades et ses parents. Finalement, il abandonna son vélo dans un feuillage et paya le conducteur  avec son argent mais ce premier lui demanda : (en portugais)                                               

_ Tu es seul ?                                                                                                                                                    

 Il répondit :   Euh…non  monsieur…euh…c’est…pour aller chez…mes…grands pa                                                  

  _   Bon je te crois bonhomme, allez rentre, je n’ai pas beaucoup de temps !                                

   Romaõ se plaça dans le fond du bus. Il réfléchit ; Est-ce une bêtise ?...                                                 

  Puis le bus démarra brusquement ; il part à 9h25 (le trajet dure 5h45 au total). Vers midi, Romaõ fit une pause obligatoire ; il n’a aucune idée de l’endroit où il se trouve mais il doit quitter le bus car le chauffeur a un problème technique au moteur de son bus. Romaõ a de la chance car il a « échoué » dans un endroit où se trouve des centaines d’orangers ! (Il doit sûrement être en Espagne, mais où ?). Il en prit quelques  unes ou même un peu beaucoup…. Il les déposa dans son cartable (qui sert de valise) où il avait mis : un livre, un plan, de la nourriture pour  plusieurs semaines, un appareil photo, de l’argent et divers objet. Il était obligé de marcher le long de la route puis 20 minutes plus tard, il vit  un panneau  indiqué : Séville 146 (kilomètres) et Huelva. Il était à Huelva ! 2 jours plus tard il arriva enfin à Séville. Nous sommes le 22 janvier 1986 ; cela fait presque une semaine que Romaõ est parti. 7 jours plus tard, il arrive à Majorque sur une île (on ne sait pas comment il est arrivé à traverser la mer.) Je ne l’ai pas encore dit mais en fait ce que  je raconte là est extrait du carnet journalier de Romaõ ; à mon avis, il n’avait plus d’encre dans son stylo car il manque un gros bout de son aventure.                      

  Retour à l’histoire : il arrive donc en Pologne le 3 avril 1986 à Cracovie. Romaõ était resté assez longtemps ici non seulement parce qu’il était  très fatigué et car il admirait ce pays et l’accent polonais des gens…Il s’était  même fait quelques amis ; en revanche, pour se comprendre, ils utilisaient le langage des signes ! Son meilleur ami s’appelait Teodozjusz. Mais le 20 avril, il quitta la Pologne direction l’U.R.S.S. Il prit un bus gratuitement car il avait trouvé un ticket encore valable à terre. Une fois arrivé, il se posa encore une question : Lorsque j’aurai terminé mon voyage personnel, comment vais-je rentrer chez moi ? Que vont dire mes parents ? Bref, il  pense qu’il ne rentrera jamais chez  lui…         Romaõ  se situait à Jytomyr où il marcha très longtemps jusqu’à la ville de Pripyat (toujours U.R.S.S) le 26 avril 1986. Soudain à 14 h 36 min 11 sec : le cauchemar commença : Des milliers de personnes couraient vers le sud et Romaõ demanda à quelqu’un : Que se  passe t-il et c’est quoi ce nuage blanc qui vient par ici ? (Il avait appris à parler un petit peu la langue). La personne répondit en courant : « Vite cours, tu es fou, tu vas  mourir, c’est une centrale nucléaire de Tchernobyl qui vient d’exploser…et ce nuage… C’EST UN NUAGE MORTEL ! Mais …, trop tard. Romaõ  était mort, atteint  par la radioactivité malgré sa résistance.

C’était l’un des millions de morts de cette catastrophe…

Trois mois plus tard, un homme masqué ramassa le mort et retrouva un carnet qu’il gardera (selon l’histoire) jusqu’au moment où, en 2010, 24 ans après le terrible drame en U.R.S.S à Tchernobyl (devenu l’Ukraine aujourd’hui), il l’offrit  à quelqu’un qui créa un texte.

Hommage aux victimes

Thian Rousselle


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14 juin 2011

La surprise de Quiterie

Surprise

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Bonjour je m’appelle Sophie et j’ai 11 ans, j’habite dans une petite maison. J’ai une sœur qui s’appelle Laurène et un frère, Emeric. Nos parents travaillent jour et nuit je les vois pas beaucoup. Depuis que je suis toute petite, je rêve d’être riche belle et pouvoir enfin avoir une vraie maison pas comme la notre, petite comme un petit pois. Un jour pendant que je me promenais, je vis un chemin de pièces d’or. Je courus jusqu'à la maison pour que mon frère et ma sœur viennent m’aider à les ramasser ( mais Laurène m’a dit que nous n’avions pas le droit de laisser la maison sans surveillance alors Laurène resta à la maison et Emeric et moi nous partîmes à la recherche des pièces d’or). Quand nous fûmes arrivés au bout du chemin nous montâmes un escalier sans même regarder devant nous, à l’arrivée nous étions choqués car nous n’avions jamais vu les nuages de si près ! Nous vivions un rêve ; nous avançâmes pour aller chercher des billets et des pièces mais quand nous fîmes un pas, un monsieur arriva et nous dit :

-« Vous voulez tout cet argent n’est ce pas ? Alors vous devrez passer des épreuves et tous les deux sans vous fâcher ».

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Nous nous regardâmes et nous nous sommes dit qu’il fallait le faire sinon notre famille serait déçue et nous aussi. Ensuite, le monsieur nous demanda de le suivre. Nous marchâmes cinq minutes et nous arrivâmes à la première épreuve, elle avait l’air facile alors je dis que c’étais moi qui allait commencer. Ils m’expliquèrent les règles, je devais faire le tour du monde en moins d’une heure alors je me dis que j’aurais dû laisser Emeric le faire mais ma décision était prise et je ne pouvais pas reculer. En partant je vis un aigle et je lui demandai s’il pouvait m’aider, il se leva, me dit oui et je montai sur son dos. Il commença à aller le plus vite possible comme s’il faisait des courses et qu’il gagnait tout le temps. Je suis arrivée 15 minutes en avance. Emeric était si content qu’il alla embrasser l’aigle. La deuxième épreuve c’était mon frère qui devait la faire. Il pensait qu’il allait perdre mais je l’encourageai. Il devait sauter au dessus des tas d’argent et il devait recommençer deux fois en cinq minutes maximum.

Il partit et je le vis sauter comme un lapin. Il fit le parcours en quatre minutes et 56 secondes, quelle chance !!!!!!!!!!!!!!!!!

Il m’expliqua ensuite qu’un lapin s’était déguisé et avait fait tout le parcours à sa place. Nous avions enfin fini les épreuves et le monsieur nous dit que nous pouvions prendre tout l’argent que nous voulions et partir avec. Nous étions tellement heureux que nous fîmes des allers et des retours en courant les bras plein de « sous ». Le soir, nos parents rentrèrent et nous leur racontâmes notre magnifique aventure, ils étaient émus et le lendemain ils achetèrent un château avec des domestiques, plein d’autres choses géniales et nous devînmes les plus riches de la planète.

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FIN

Quiterie

24 mai 2011

Celestin et Nathalie nous parlent

L'après-midi chez les

Petites Sœurs des Pauvres

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Le jeudi 12 mai nous sommes allés remettre le chéque chez les Petites Sœurs des Pauvres.

 

Nous répétions les chants et nous sommes partis à 14h15 pour aller chez les Petites Sœurs des Pauvres. Nous avons mis 30 min pour y aller. Nous étions bruyants et Mr Douez nous a demandé de nous taire. Nous sommes donc arrivés à 14h45 dans le grand jardin de la Maison de Retraite. Il était joli et il faisait beau. Nous sommes accueillis par une Sœur qui nous emmène à la salle des fêtes. Nous nous installons sur le podium et les personnes âgées arrivent. Puis nous avons chanté ''Here's to you'', ''Si mors à mort'', ''Noël ensemble'' et ''On demande pas la lune''. Entre chaque chanson, tout le public applaudissait. Et nous avons remis le chèque du Pain-Pomme de 1100 euros à ma Sœur et nous avons pris des photos. Nous avons goûté : des canards en sucre, trois chocolats, gaufrette à la vanille et nous avons bu du jus de pomme. Puis nous avons parlé avec un prêtre de Tourcoing qui avait 101 ans presque 102. Les Petites Sœurs nous ont remerciés et espèrent que nous reviendrons. En partant, nous voyons un chien qui nous saute dessus il s'appelait Finot.Nous avons dit au revoir et nous partons. Arnaud, Guilhem et Timothée parlaient avec une dame qui leur disait qu'il fallait qu'ils prient pour une personne qui avait un cancer et pour un père qui avait 8 enf ants et qui était mort. Nous partons à 15h55. Nous sommes très très bruyants et nous avons du travail en plus.

 

Nous arrivons à l'école mal rangés et nous sommes allés dans la bibliothèque des petitspour parler de notre comportement.

Nathalie et Célestin

24 mai 2011

Bertille et Louis en visite.........

Aux petites sœurs des pauvres

 

Jeudi 12 mai 2011, nous partons en direction d'une maison de retraite s'appelant « Les petites sœurs des pauvres ». Pour remettre un chèque contenant les « sous » d'une action de l'école Sainte Geneviève: pain-pomme.

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Nous partons de l'école à 14h15 avec un temps ensoleillé et peu nuageux. Sur la route, Louis, Clara. C, Thian et Mathilde sont au début de la file parce qu'ils connaissent la Madeleine comme leurs poches. Nous marchons lentement, on est tous très bruyant. Puis, nous arrivons aux petites sœurs des pauvres. Une fois à destination, nous nous dirigeons vers l'estrade pour chanter. Une dame nous a dit : C'est des bonnes bouilles ça !!!!! Les personnes âgées arrivent peu à peu. Pendant ce temps, nous faisons les pitres. Nous commençâmes à chanter après l'ordre de Monsieur Douez. En premier, nous chantons :

Here's to you

Si mors à mort

Noël ensemble

On ne demande pas la lune.

Puis, les sœurs nous ont donné un goûter (petite gaufre, trois chocolats avec des formes marrantes et un petit canard en sucre). Nous avons rencontré un monsieur de 102 ans,il adore les enfants.

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Après quelques minutes de discussions, nous rentrâmes à l'école Sainte Geneviève avec beaucoup de devoirs puisqu'on a fait beaucoup de bruit sur le trajet de l'aller et du retour. Monsieur Douez a été vraiment déçu de notre comportement bruyant sur le chemin du retour. Mais heureusement pour nous, Monsieur Douez les a retirés. OOOUUUFFF !!!!!!!!

24 mai 2011

Viola et Théophile en visite chez les Petites Soeurs des Pauvres

Les petites sœurs des pauvres

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Jeudi 12 mai, nous sommes allés dans une maison de retraite: Les petites sœurs des pauvres à La Madeleine.

 

Nous sommes partis à 14h15 de l'école et, il faisait très beau! Thian et Clara Corbeau nous guidaient parce-que monsieur Douez ne connaissait pas le chemin. Sur la route, Théophile et moi étions avec Matéo tout au fond! Vers 14h45, nous sommes arrivés à destination pour toute l'après-midi. Une sœur nous a accueillis à l'entrée et nous a guidés jusqu'à la salle de spectacles. Ensuite, toute la classe est montée sur la scène.

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Derrière nous, se trouvait un grand rideau rouge! Tout à coup, ce rideau s'est levé et derrière, se trouvait un grand décor. Peu à peu, les personnes âgées sont arrivées dans la salle et, la plupart étaient en chaise roulante. Violette était sur la gauche avec Lancelot, Antoine et Guillaume. Par contre, moi j'étais à coté de Celestin et de Matéo. Nous avions beaucoup ri! Nous avons dû chanter quelques chants. Après avoir chanté, tout le monde applaudit! Ensuite, une sœur nous a apporté un goûter:

_un canard en sucre

_3 chocolats au lait

_une gaufre à la vanille

_un verre de jus de pomme

A la fin, un vieux prêtre est venu nous parler. Il avait 102 ans! Il nous a raconté qu'il ne voyait pas beaucoup d'enfants!

Après, Mr Douez a remis le chèque à une sœur pendant que Clément nous mitraillait de photos. L'argent que nous avions récolté venait de l'action de Carême (pain-pommes). Puis, nous sommes partis à 16h00. Mr Douez nous menaçait de nous donner beaucoup de verbes si nous n'étions pas calmes, ce qui nous est terriblement difficile à faire ( Mission impossible !!!) .

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Cette journée était super, nous nous sommes bien amusés (Mr Douez aussi)

22 mai 2011

We will rock you

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