Les truffes de TIM, quel joyeux Noël !
Mardi, jeudi et les truffes
Mardi après-midi, monsieur Douez nous emmena à la cantine faire des truffes
pour nos parents
(c’était leur cadeau de Noël)
Il faisait beau ; un temps plein de soleil !
Quand nous fûmes arrivés en ce lieu, monsieur Douez
nous donna les consignes et nous nous lançâmes
dans la fabrication de la « pâte à truffe » .
Dans mon groupe, il y avait Oscar, Arnaud, Alice, Victoire, Clara(Corbeau) et
moi.
Quand nous eûmes sorti le saladier d'Arnaud de son sac, nous coupâmes le beurre
(125g par personne soit
875g au total car Victoire a des parents séparés), nous cassâmes le
chocolat(200g par personne soit 1400g au total) et nous versâmes le tout dans
le
saladier.
Quand nous eûmes mis le saladier au four(ou plutôt quand MONSIEUR DOUEZ l'eut
mis au four), nous mîmes des jaunes d'œufs (2 par personne soit 14 au total),
du
sucre(125g par personne soit 875g au total) et du sucre vanillé(10g par
personne
soit 70g au total) dans un autre saladier.
Quand nous eûmes récupéré le 1er saladier, nous versâmes le 2ème dedans. Le
mélange fut mis dans le réfrigérateur jusqu'au jeudi.
Lorsque monsieur Douez eut dit qu'il fallait retirer la spatule du mélange,
Oscar rajouta que c'était pour qu'elle ne reste pas coincée ! Nous fîmes un peu
de calcul rapide.
Jeudi après-midi, quand monsieur Douez nous a emmenés à la cantine pour finir
les
truffes, le temps n'était pas du tout le même que celui du mardi ; il pleuvait,
ça ne donnait pas envie de sortir.
Quand nous fûmes entrés, monsieur Douez demanda aux chefs de groupe (notre chef
de groupe était Alice) de venir l'aider à sortir les saladiers du
réfrigérateur.
Le contenu du nôtre avait bien durci.
Il fallait creuser avec les cuillères dans le contenu pour obtenir une pâte
que nous devions malaxer de façon à obtenir des boules à rouler
dans le cacao.
Nous nous étions répartis les rôles ; moi je creusais, les filles faisaient les
boules et Oscar et Arnaud les roulaient dans le cacao.
Arnaud avait plein de chocolat sur le visage (de la faute des filles) et il
disait qu'il ressemblait à un sénégalais ! Lorsque nous eûmes presque fini,
Alice se mit à faire une drôle de tête ; elle avait envie de vomir.
Nous dûmes
continuer à cinq, nous ne respections plus nos rôles, nous finîmes en
catastrophe mais on s'en est sorti et j'étais bien content. Nous pûmes aller
nous laver les mains mais avant nous dûmes nettoyer tout le cacao qu'Oscar
avait
mis sur et sous la table! Nous fîmes du calcul
rapide et nous nous en allâmes vers l'école.
Timothée
Languille